Le 14 juillet, avec Les Suds, à Arles, entrez dans la danse !

Si le festival Les Suds, à Arles, nous a habitués depuis 30 années à un exotisme sans frontières, avec ces voix venues de loin et ces musiciens et danseurs qui nous transportent ailleurs, ces cultures qui se croisent et font connaissance, cette édition promet d’être plus festive encore.
Et pour cause : l’événement est grand. 30 ans de bonnes et loyales initiatives au service de l’art, de l’apprentissage, et de l’animation au cœur des étés arlésiens. 30 ans donc que la ville est unie à cet événement pour le meilleur, et que ces noces de perle témoignent d’un attachement profond à la diversité, en particulier à celles des performances proposées.
Des talents naissants aux grands noms des musiques du monde, chaque artiste fera de cette semaine du 14 au 20 juillet une fête d’anniversaire dont on se souviendra.

Bougies mais surtout grand bal pour la fête nationale : le 14 juillet le ton sera donné.
Tempo folk-électro, puis créole et tropicale, l’ambiance se voudra dansante ce soir-là place Voltaire à partir de 21h (avant et pendant, entrée libre à deux concerts également : l’un à 19h30 au Museon Arlaten, et le second à 21h30 au Musée départemental Arles antique).
La place Voltaire restera les soirs suivants, du 15 au 18 juillet à 17h30, le théâtre d’autres moments musicaux et gratuits, avec les “scènes en ville”. Un concept à retrouver sur ces mêmes dates à Croisière chaque fin de matinée à partir de 11h, avant de profiter des “apéros découvertes” puis des siestes musicales dès le 14 juillet et dès 12h30 à l’espace Van Gogh. Des projections de films et de documentaires, ainsi que les “salons de musique” auront également lieu quotidiennement dans divers endroits à 14h30 et 16h30. Ajoutez à cela un concert et un DJ set à Croisière les 15 et 16 juillet à 23h, ainsi qu’une journée de clôture qui devrait faire grand bruit en Camargue, et chacun aura pu en profiter pleinement.

Pour les autres rendez-vous qui n’affichent pas encore complet, la billetterie du festival reste ouverte.

Photo de couverture : Florent Gardin / Les Suds.