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Culture / Patrimoine
Publié par Marie-Pierre Garrabos le
Eliades Ochoa, Oumou Sangaré, Sofiane Saïdi, mais aussi Bernard Lavilliers, André Manoukian, des sons et rythmes latins, cubains, africains, arméniens, bulgares et même coréens… les noms chantent aux oreilles et annoncent déjà ces soirées magiques, où la musique transporte et réunit, comme le festival Les Suds, à Arles en a le secret. Pour la 27ème année, Arles retrouve son rendez-vous privilégié avec les musiques du monde et ne se privera pas de concerts intimes à l’heure de la sieste ou de l’apéritif, de grands rendez-vous au théâtre antique et des nuits à Croisière comme à la grande halle du Parc des Ateliers (samedi 16 juillet). Les Suds, à Arles font vibrer la musique et la danse tout au long des sept jours du festival, avec aussi 40 stages proposés, des rencontres professionnelles… Et un final bucolique, comme toujours, à Salin-de-Giraud. La journée buissonnière en Camargue, le dimanche 17 juillet, s’étirera de 11 heures, avec un premier moment précieux (Bonbon Vodou) et un Dj set avec Bison ! Bison !, suivis d’un déjeuner au Domaine de la Palissade jusqu’à 17h30, avec un concert de Butor Stellaris (l’Arlésien Henri Maquet et Emmanuelle Aymès) à La Capelière.
Il reste encore des places pour la plupart des concerts, programme et réservation sur www.suds-arles.com