Particuliers

Comment alerter la police ou la gendarmerie en cas d’urgence ?

En cas d’urgence, et uniquement dans cette situation, il est possible d’alerter la police ou la gendarmerie par appel téléphonique, ou par SMS, si vous êtes dans l’incapacité de parler.

En cas d’urgence, lorsqu’une intervention rapide est nécessaire, vous pouvez appeler la police-secours. Composez le 17.

Vous pouvez également contacter le 112.

Où s’adresser ?

Police secours – 17 (par téléphone)

Par téléphone

Composez le 17 en cas d’urgence concernant un accident de la route, un trouble à l’ordre public ou une infraction pénale. Une équipe de policiers ou de gendarmes se rendra sur les lieux.

Vous pouvez aussi composer le 112. Vous serez alors orienté vers le bon service selon votre cas. Le 112 est utilisable dans tous les  pays de l’Union européenne .

Si la situation ne relève pas d’une urgence, composez le numéro de votre commissariat ou de votre brigade de gendarmerie.

Où s’adresser ?

Numéro d’urgence européen – 112

112

Numéro d’urgence à utiliser pour un appel depuis un pays européen ou depuis un téléphone mobile

24h/24h et 7j/7

Appel gratuit

    Le 114 est le service relais des appels d’urgence si vous êtes dans l’impossibilité de parler au téléphone (sourds, malentendants …) ou si cela risque de vous mettre en danger.

    Où s’adresser ?

    Numéro d’urgence pour les personnes sourdes ou malentendantes – 114

    Par SMS au 114

    Accessible gratuitement 24h/24, 7 jours/7

    Par l’application mobile urgence 114 ou le site internet www.urgence114.fr

    Accessible gratuitement 24h/24, 7 jours/7

    Contact possible via :

    Visiophonie : Je communique en langue des signes

    Tchat : Je communique par écrit

    Voix / Retour texte : Je parle et le 114 me répond par écrit (ou l’inverse)

      Si la situation ne relève pas d’une urgence, composez le numéro de votre commissariat de police ou de votre brigade de gendarmerie.

      Où s’adresser ?

       Commissariat 

      Il est important de savoir que le fait de lancer une fausse alerte auprès de la police, en faisant croire à une prise d’otage par exemple, est un délit.

      Ce délit peut être puni d’une peine allant jusqu’à  2 ans de prison et 30 000 € d’amende.