Santé / Prévention

Une nouvelle promotion d’internes en médecine accueillie à Arles

Le 15 mai 2024, le maire d'Arles a accueilli en salle d'honneur une promotion de 17 internes en médecine qui vont poursuivre leur formation à Arles jusqu'en novembre.

Publié par Marie-Pierre Garrabos le


Dix-sept internes en médecine sont arrivés à Arles début mai pour parfaire leur formation dans notre ville. Parmi ces jeunes médecins, neuf travaillent à l’hôpital Joseph-Imbert, huit en ville. Le maire d’Arles, Patrick de Carolis, entouré de plusieurs élus, dont Paule Birot-Varon, chargée de la Santé, les a accueilli le 15 mai en salle d’honneur de l’hôtel de ville. L’objectif de cette réception ? Présenter la ville à ces nouveaux arrivants – s’ils poursuivent leurs études à Marseille, ils sont originaires de presque toutes les régions de France, l’un d’Allemagne et un autre encore d’Algérie. “Si Marseille a Jul, nous avons Jules César !” a lancé le maire d’Arles pour évoquer la richesse patrimoniale et culturelle d’Arles. Il n’a pas oublié de vanter également le patrimoine naturel de la ville, la Camargue et ses plages. Autre point fort mis en avant : la dynamique sportive, très récemment mise en valeur par la halte de la Flamme Olympique, le 12 mai dernier.

La directrice de l’hôpital, Sylvia Breton, a mentionné les initiatives engagées par l’Hôpital pour faciliter l’intégration de cette promotion à Arles et soutenir leur développement professionnel. Les internes se sont ensuite présentés. Seize d’entre eux sont des généralistes, qui exerceront en ville et dans différents services de l’hôpital. La promotion compte un seul spécialiste, en ophtalmologie. Ils ont noté les améliorations apportées à leur accueil : une coordination autour de l’offre culturelle, des aménagements de locaux. Les efforts concertés de la Ville et de l’hôpital pour les recevoir s’inscrit aussi dans la politique menée pour lutter contre les déserts médicaux. La douceur de vivre arlésienne conjuguée à un dynamisme de plus en en plus affirmé peuvent être des arguments de poids quand ces jeunes praticiens réfléchiront à leur installation une fois leur cursus achevé.